Testé en solo et multijoueur sur la version commerciale de Driver San Francisco sur Xbox 360.
Les anglais de Reflections sont bien connus pour leur série Destruction Derby, mais c’est surtout Driver (et ses suites) qui a fait la gloire du studio. Edité par Ubisoft, Driver San Francisco avait donc une sacrée pression sur les épaules, le dernier bon épisode datant de 2004 (DRiV3R) et les reports s’étant succédés pour ce nouvel opus. Avec cette plongée dans les années 70, Driver San Francisco nous invite à suivre la traque de Charles Jericho par John Tanner, ce dernier étant rapidement victime d’un grave accident qui le plonge dans un coma assez sérieux. Dans son délire, s’imaginant toujours à la poursuite de Jericho, Tanner va apprendre à utiliser le SHIFT, un pouvoir lui permettant de faire passer son esprit dans le corps de n’importe quel automobiliste (un peu à la manière de Sam Beckett dans Code Quantum)…
Ma progression:
- scénario terminé en 9h17 (soit 43.11% du jeu)
- récompenses: 16 Succès sur 50 (soit 330 G)
- le principe du SHIFT est tout bonnement excellent
- les dialogues (VF) apportent une bonne dose de fun lors des SHIFT
- la sensation de vitesse au volant de certains bolides
- San Francisco parait fidèlement reproduite
- la modélisation des dégâts
- de nombreux modes de jeu en ligne
- les textures de certains bâtiments feraient presque pleurer
- le scénario est quelque peu tiré par les cheveux
- la nécessité de passer par des épreuves hors scénario pour débloquer la suite
- la plupart des véhicules sont de vraies savonnettes, surtout lorsqu’elles sont imposées (coïncidence ?!)
- les publicités en 4×3 pour BOSE qui dénotent avec les publicités d’époque
- le système du UPlay Passport