S’il y a bien un titre qui était attendu sur une console de Big N, c’est bien Final Fantasy VII, notamment pour tout l’imbroglio qu’il y a eu autour du titre à une époque où la licence faisait les beaux jours de la Super Nintendo. On ne va pas refaire l’histoire mais tout le monde sait à quel point ce titre a marqué une génération de joueurs et a profité à Sony ainsi qu’à la marque PlayStation…

Sorti en 1997 sur la première console PlayStation, FF7 fait parti de ces jeux qui nous font remonter une vague de souvenirs (et de nostalgie) juste à leur évocation. Pour ma part, n’ayant jamais eu de PS1, j’ai connu le titre sur PC en 1998 et j’en garde de très bons souvenirs, surtout à une époque où nous n’avions pas accès à des milliers de sources pour avancer dans un jeu (ce qui n’empêcha de nombreuses rumeurs d’éclore, notamment sur le devenir de certains personnages). Je l’ai ensuite acheté sur différents supports, surtout pas nostalgie, sans jamais y toucher.

Mais aujourd’hui, le titre est enfin disponible sur Nintendo Switch (également sur Xbox One si cela vous intéresse) et j’ai attendu fébrilement que se téléchargent les 4 Go de données pour relancer le jeu ! Je sais parfaitement qu’il s’agit d’un port de la version mobile et qu’il y a des bugs qui n’ont pas été corrigés (notamment au niveau des musiques) mais c’est Final Fantasy VII après tout, on serait presque tenté de tout lui pardonner, même son prix de 15,99 Euros.

Dans FINAL FANTASY VII, le monde est sous l’emprise de la Shinra, une corporation sinistre qui s’est approprié la force vitale de la planète afin de la convertir en énergie mako. Les joueurs suivent l’histoire de Cloud, un ancien membre de l’unité d’élite SOLDAT devenu mercenaire, alors qu’il tente de sauver le monde de la perdition aux côtés d’un groupe de rebelles anti-Shinra du nom d’Avalanche.